FAQ

Vous n’avez pas besoin d’avoir tout prévu avant de me consulter. Mon rôle, c’est justement de vous aider à faire le point : comprendre votre situation, évaluer les urgences (enfants, logement, finances) et envisager les différentes voies possibles. Un simple rendez-vous permettra déjà d’y voir plus clair.

Tout dépend de la situation : êtes-vous mariés ? Propriétaires ? L’un de vous a-t-il quitté le domicile ? On étudiera ensemble vos droits et les éventuelles démarches à engager, pour sécuriser les choses rapidement, surtout s’il y a des tensions.

Oui. Je propose des forfaits adaptés à vos situations. Ce n’est pas votre budget qui décide si vous méritez d’être accompagné : c’est votre situation.

Le juge aux affaires familiales peut fixer la résidence des enfants (chez l’un des parents ou en alternance), organiser les droits de visite, et trancher en cas de désaccord. Mais bien souvent, un accord est possible : et c’est ce que je privilégie, quand c’est dans l’intérêt de l’enfant.

Il est possible de demander des mesures urgentes ou de faire valoir des éléments concrets (comportements menaçants, refus de communication, etc.). Je vous aide à à anticiper, et à protéger votre lien avec vos enfants.

Cela dépend du type de divorce (consentement mutuel, contentieux, procédure urgente…). Chaque dossier est différent. Dès le premier rendez-vous, je vous indique clairement et sans surprise le coût prévisible de l’intervention.

Non !
Il est possible de divorcer même si l’un des conjoints s’y oppose. Le droit prévoit plusieurs cas de divorce : pour faute, pour altération du lien conjugal, ou par consentement mutuel. On choisira ensemble la voie la plus adaptée à votre histoire.

Pas du tout ! Je gère régulièrement des dossiers à distance, en adaptant la procédure. La domiciliation des enfants, les liens avec l’île, ou d’autres critères peuvent permettre de saisir le tribunal réunionnais.

Ici, vous pouvez parler librement. Mon rôle, c’est d’écouter, de ne pas minimiser ce que vous vivez, et de vous aider à reprendre la main sur la situation : sans jugement, sans pression.

Maître Vanessa About vous répond :
Commencez par venir poser les choses avec moi . Ce que vous vivez, ce que vous craignez, ce que vous voulez préserver.
On ne lance pas une procédure n’importe comment. On établit d’abord un diagnostic : quelles sont vos options, quels sont vos droits, et surtout… quel est le bon moment pour agir.

Vous n’avez pas besoin d’avoir toutes les réponses pour me consulter. Juste l’envie d’y voir plus clair !

Oui. Le divorce n’est plus un “refus possible”. Il existe plusieurs formes de divorce, dont certaines peuvent être engagées même si l’autre s’y oppose.
Il faut alors prouver, par exemple, que la vie commune est rompue depuis au moins un an, ou que des faits graves rendent le maintien du lien conjugal impossible.
Je vous aide à choisir la voie la plus adaptée à votre situation.

Pas forcément. Et surtout : pas sans avoir eu un vrai échange juridique avant avec moi !
Quitter le domicile conjugal peut être interprété comme un abandon, dans certaines conditions.
Mais dans d’autres cas, c’est légitime, voire nécessaire (violences, tensions, enfants en danger…).
On en parle ensemble, et je vous dis clairement si c’est le bon moment pour partir, ou s’il vaut mieux attendre une décision du juge.

Le juge regarde l’intérêt de l’enfant, pas l’intérêt de l’un ou de l’autre parent.
Il peut fixer une résidence chez l’un des parents, une résidence alternée, des droits de visite élargis, etc.
Mais avant d’aller devant un juge, il est souvent possible d’organiser intelligemment les choses, si chacun est prêt à faire passer l’enfant avant le conflit.
Mon rôle est de vous aider à protéger ce lien, et à éviter qu’il ne devienne un champ de bataille.

Pas sans décision de justice. Et surtout : pas sur la base de simples menaces.
Si vous avez l’autorité parentale, que vous assurez les besoins de l’enfant, et que vous n’avez rien à vous reprocher, l’autre parent ne peut pas “vous enlever” vos enfants comme il enlèverait un meuble.
Mais ces situations doivent être prises au sérieux. Il faut anticiper, et, si besoin, saisir le juge. Je suis là pour vous aider à reprendre le contrôle.

Tout dépend du contexte. Si l’autre parent exerce aussi l’autorité parentale, vous ne pouvez pas décider seul de changer de département et encore moins de région ou de pays.
Cela ne veut pas dire que c’est interdit. Mais ça suppose d’en discuter, de le justifier, et parfois de saisir le juge pour que ce déménagement ne vous soit pas reproché.
Je vous aide à préparer ce type de projet sans mettre en péril vos droits.

Vous n’êtes pas obligé d’en rester là.
Il existe plusieurs solutions concrètes : le recours au Trésor public (via la CAF), les saisies sur salaire, voire des poursuites pénales pour abandon de famille.
Mais avant d’en arriver là, on voit ensemble quelle stratégie adopter, selon votre situation, le comportement de l’autre parent, et l’intérêt de l’enfant.
La pension alimentaire, ce n’est pas une option. C’est un droit.

Oui, dans certains cas.
Ce qu’on appelle “ le devoir de secours ou la prestation compensatoire” : cette alternative est là pour compenser un déséquilibre financier entre les conjoints après le divorce.
Il ne s’agit pas de réclamer “un bonus” mais de tenir compte des années consacrées à la famille, de la différence de revenus, des sacrifices faits pour la carrière de l’autre.
Je vous dis franchement si c’est réaliste, défendable, et dans quelles conditions.

La réponse dépend de plusieurs éléments :
– Qui est propriétaire ?
– Est-ce un bien commun ou propre ?
– Y a-t-il des enfants ?
– Est-ce que l’un des deux veut la racheter ?
On peut demander l’attribution préférentielle, une vente judiciaire, ou un partage amiable.
Là encore, je vous aide à voir clair dans vos droits patrimoniaux, et à éviter les pièges (ou les renoncements précipités).

D’abord : Ne paniquez pas !
Mais ne laissez pas traîner non plus !

Il y a des délais pour répondre. Et surtout, ce que vous direz (ou ne direz pas) maintenant peut avoir un impact énorme sur la suite : résidence des enfants, pension, partage des biens…
Prenez contact. Venez avec le document. Et on fait le point ensemble, rapidement et efficacement.

Le notaire intervient pour les aspects patrimoniaux, comme la liquidation du régime matrimonial ou la rédaction d'actes.
L'avocat, quant à lui, vous assiste et vous représente devant le juge, vous conseille sur vos droits et obligations, et défend vos intérêts tout au long de la procédure. Les deux professionnels sont complémentaires. Même si vous avez consulté un notaire, l'accompagnement d'un avocat est essentiel et obligatoire pour une défense complète et personnalisée.

Maître Vanessa About vous répond :
Cela dépend du type de divorce. Un divorce par consentement mutuel peut être finalisé en quelques semaines si tout est bien préparé. En revanche, un divorce contentieux peut prendre plusieurs mois, voire plus, selon la complexité du dossier et la charge des tribunaux. Mon rôle est de vous accompagner pour que la procédure soit la plus fluide et rapide possible, en anticipant les obstacles et en préparant un dossier solide dès le départ.